The social network

The social network ou les débuts de Facebook. A part quelques irréductibles (ca va Liette?) on est, ou dans mon cas on a été, accroc à Facebook. Que ce soit dans un but de rencontre, de partage, ou pour jouer à ces jeux débiles mais profondément addictifs, on y, ou on y a, passé des heures. A rentrer vite chez soi pour récolter son maïs, à se connecter tous les 1/4 d'heure pour voir sa stamina remplie et pouvoir combattre les serpents des mers pour avoir le morceau de carte pour débloquer un niveau de plus. Je ne remercies pas Mark Zuckerberg de m'avoir fait perdre tout ce temps, alors que j'aurais pu faire bien mieux. Mais bon après avoir entendu l'histoire de sa vie je lui pardonne un peu, parce que c'est pas facile d'être un nerd incompris, d'avoir une idée de génie, et de devenir le plus jeune milliardaire au monde. Oui, Mark Zuckerberg est un sale con, et on est tous jaloux de ce qu'il a accompli.

Sinon le film est sympa, bien filmé, bon rythme, pas d'ennui, histoire énervante mais on le prend quand même un peu en pitié malgré son caractère associal. On a passé un bon moment, même si on déteste encore plus Zuckerberg (mais pourquoi c'est pas moi, qui ai une idée comme celle-là! ;-)  )

Comments

[Liette]

J'ai suffisamment vu Pierre y jouer...
**plante plante plante**
**brosse brosse brosse**
**construit construit construit**
**récolte récolte récolte**

>.<

[lulu]

Tu dis ca parce que t'as jamais touché aux jeux facebook... ;-)

[Liette]

Ah ah ! Et ben je l'ai vu hier ce film, et je suis d'accord avec toi : bien rythmé, bien filmé, on rit autant que l'on s'énerve, et vraiment ce Mark Zukenberg est un connard ! Quoique, pas tant que ça... C'est surtout un génie asocial (ah, ces répliques aux avocats, géniales !) qui a eu THE idée que tout le monde lui envie.

Au final, le film ne parle pas tant du phénomène Facebook en lui-même, mais c'est vraiment intéressant de voir la toute première motivation des gens à s'y inscrire : qui fait quoi, couche avec qui et connait combien de personnes ? Le voyeurisme pur et simple, qui caractérise si bien notre société. Ça, et la philosophie du "moi, je" qui conduit à vouloir publier "toute sa vie sociale en ligne" (je cite le film...).

Disons que cela me conforte dans mon idée : à bas Facebook ! Mais bravo pour le film ;-)